Paradis (Le) à l’ombre des épées. Première Olympique. Lithographies de Mac’Avoy.
Paris, Société des Amis du Livre Moderne, 1952 ; grand in-4 en feuilles sous couverture blanche rempliée, titre peint par Mac’Avoy et imprimé en vert, chemise-étui d’édition en carton vert ; XVII [XVIII], [176] pp. et en tout 54 lithographies originales dont 10 hors-texte (1 à double page), de tous formats, non comprise celle de la couverture citée plus haut, tirées par A. Clot.
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Premier tirage, exemplaire n°69, nominatif, tirage unique à 135 au total, sur pur fil Lana à la forme. Dos de la chemise légèrement passé, sinon bel exemplaire de ce texte célèbre magistralement illustré par Edouard Mac’Avoy, à commencer par un étonnant portrait de profil d’Henry de Montherlant. Né à Caudéran en Gironde (1905-1991) Edouard Mac’Avoy va peindre très jeune (19 ans) et rapidement connaitre le succès car il a tout de suite un style à part. Plus tard, il se spécialisera dans le portrait et réalisera celui de Cocteau, Maugham, Honegger, Gide, Picasso, Jouhandeau, Montherlant, Maurice Béjart, Ionesco, etc. Très proche de Montherlant, il sera son dernier visiteur avant son suicide le 21 septembre 1972 et racontera, dans Le plus clair de mon temps 1926-1987 qu’il avait "craqué" le jour de l’incinération du corps de Montherlant.
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