Le Faut-Mourir et les excuses inutiles qu’on apporte a cette necessité. Reveu, corrigé et augmenté de nouveau des excuses d’un cabaretier à la Mort. Le tout en vers burlesques. Suivi de : Le Medecin liberal qui donne, gratis, des remedes salutaires contre les frayeurs de la Mort. Troisième partie et suite de Faut-Mourir [Par le même auteur].
Lyon, Charles Mathevet, 1666 ; soit trois parties reliées en un volume in-12, veau marbré, dos à nerfs décoré et doré, pièce de titre havane, roulette sur les coupes, tranches rouges (reliure ancienne) ; [16], 454 pp., [1] f. bl., [1] f., [12], 215, [1 bl.] pp. ; Frontispice qui porte en titre “Le médecin libéral à son Malade, tourmenté des vives appréhensions de la Mort”.
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Rare ensemble des trois parties réunies, les deux premières qui sont parues en 1655 et donc ici en réédition et la troisième partie avec un frontispice, ici en édition originale. Ces poèmes en vers burlesques sont des dialogues entre la mort et l’homme de chaque catégorie sociale à commencer par le Pape, puis une jeune Damoiselle fiancée ; un forçat de galère ; à un Roy, à un bourgeois, un chanoine, un aveugle, etc. ; la troisième partie traite plutôt de diverses situations qui concernent la Mort. Petite restauration aux coins et coiffes, bel exemplaire. L’auteur était chanoine de l’église d’Embrun.
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